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         Souvent le silence des femmes victimes de violences.                           petitretourvert.jpg (1591 octets)

Pourquoi les femmes ne signalent-elles pas toujours les agressions sexuelles?
La réalité est que un quart des femmes sexuellement agressées ne signalent jamais l'agression à qui que ce soit.  Le fait de rapporter une agression sexuelle peut se révéler presque aussi traumatisant que l'agression elle-même.  Les femmes et les jeunes filles ont besoin d'être appuyées et crues.

Avertissement: Ces articles sur la violence faite aux femmes sont inspirés d'une fiche d’information préparée par l’Institut canadien de recherches sur les femmes (ICREF) pour la Marche des femmes de l’an 2000.
Pour en savoir beaucoup sur la condition faite aux femmes  face à toutes les violences, chez chacun de nous et dans le monde, visitez le site :
www.ffq.qc.ca/marche2000
  • Certaines femmes et jeunes filles ne reconnaissent pas le viol commis par une connaissance ou par un mari comme une agression sexuelle, constituant une infraction criminelle.
  • Certaines se sentent, d'une façon ou d'une autre, responsables de l'agression, par adhésion aux préjugés voulant que les femmes agressées sexuellement aient «couru après».
  • Certaines craignent de ne pas être crues, d'être tournées en ridicule ou exclues du groupe qu'elles partagent parfois avec le violeur (famille, congrégation, école, etc.) ou elles ont honte d'avoir été violées et désirent que personne ne le sache.
  • Certaines craignent que l'agresseur ne se venge ou qu'il les agresse de nouveau si elles parlent.
  • Beaucoup de femmes manquent de confiance envers un appareil policier et judiciaire qu'elles jugent ( à tort ou à raison) inefficace et partial . Au Canada en 1997-1998, on a dénombré   7629 procès pour agression sexuelle dans les tribunaux de juridiction criminelle pour adultes.  Seulement 1 533 de ces procès ont résulté en une sentence de prison.  Plus des deux tiers (39 %) des agresseurs sexuels condamnés n'ont pas été condamnés à plus qu'une période de probation.  Récemment, un juge a déclaré un agresseur sexuel récidiviste non coupable d'une agression sexuelle, en arguant notamment que sa victime de 17 ans, vêtue d'un T-shirt et de shorts en plein été, ne portait «ni bonnet ni crinoline» et qu'elle n'était pas vierge. Bien des femmes refusent tout simplement de subir les attitudes antédiluviennes de certains agents de police et juges; elles veulent tourner la page sur l'agression plutôt que de devoir la revivre au cours de longs procès devant de parfaits inconnus, surtout si les résultats risquent fort d'être décevants.

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